On a remarqué une augmentation du nombre de demandes d’enregistrement de l’ordre de 17% et le maintien de la prédominance des demandes des résidents (51%).
En matière d’enregistrement, le nombre de titres délivrés a également augmenté (de 68% par rapport à l’année 2004) en raison du nombre élevé de dossiers traités et de la volonté d’accélérer la délivrance des titres, au cours de cette année
Augmentation des demandes d’enregistrement pour les produits pharmaceutiques (classe 05)
La publication est commune pour les marques et pour les autres titres de propriété industrielle. La publication de la marque s’effectue après l’enregistrement, avec les données bibliographiques et les éléments figuratifs. Elle a été confiée à une société d’édition sous la supervision du service de la Documentation de l’Office.
Uniquement la Gazette de la Propriété Industrielle qui publie :
- pour les enregistrements : les données bibliographiques, les produits et/ou services, le mandataire le cas échéant, la reproduction de la marque.
- Pour les modifications : la nature de la modification, les nouvelles données
- Les annulations (abandon) et les radiations
Les mêmes supports ; les données sur les marques sont gardées dans un disque dur et on fait des copies de sauvegarde sur CD-ROM.
L’office utilise la base de données MS ACCESS 2000 et MS WORD 2000.
L’Office s’est limité à faire des propositions et corrections, les maquettes et l’impression ont été confiées à une société externe.
L’office utilise la classification internationale des produits et des services (classification de Nice 8è édition) uniquement, pour indexer les informations en matière de marque. La classification internationale des éléments figuratifs des marques (de Vienne) n’est pas encore appliquée au sein de l’Office.
Toutes les demandes d’enregistrement reçues à partir du 1er janvier 2002 ont été classées selon la nouvelle version de la classification de Nice. Les demandes antérieures gardent leurs classifications (42 classes) et on se réfère à la liste des produits et services pour la vérification. Les déposants sont assistés par un responsable (examinateur, chef de service) dans la classification.
On n’utilise pas encore un système automatisé.
Le déposant doit indiquer les classes requises, mais pour la liste des produits/services, il n’est pas obligé de reprendre les termes de la classification.
Les marques sont classées dans une armoire à casiers, comportant comme référence le numéro de dépôt (indexant l’année de dépôt et le numéro d’ordre). Les références du déposant (selon son code d’identification), le numéro de dépôt, la codification de la marque (verbale, figurative, complexe, semi-figurative) par le service figurent sur chaque dossier.
La mise à jour s’effectue après les enregistrements dans la base de données.
Les marques sont classées dans une armoire à casiers, comportant comme référence le numéro de dépôt (indexant l’année de dépôt et le numéro d’ordre). Les références du déposant (selon son code d’identification), le numéro de dépôt, la codification de la marque (verbale, figurative, complexe, semi-figurative) par le service figurent sur chaque dossier.
La mise à jour s’effectue après les enregistrements dans la base de données.
L’office utilise un système connecté ; la recherche s’effectue dans la base de données MS ACCESS 2000 consultable en réseau. Un système de consultation en ligne interne a en effet, été mis en place pour faciliter la gestion du registre des marques, avec un accès limité. Cette base contient le registre de dépôts relatant la situation d’une marque (informations sur le dépôt, logo, inscriptions au registre, enregistrement, autres renseignements).
Dans le service des marques, on utilise deux ordinateurs deux imprimantes ainsi qu'un scanner
Pour toute information, l’office reçoit directement dans ses bureaux le public pour une consultation gratuite et répond aussi aux demandes d’informations par téléphone, mail, par lettre ou fax, dans le respect de la législation dur les marques.
Dans ce cadre, la base de données des marques reste inaccessible au public de même que les dossiers correspondants.
La collection est entretenue par le personnel du service des marques et est mise à jour régulièrement.
Le site web de l’Office est en phase d’être mis en place mais celui-ci ne fournira pas au public des dossiers de recherche dans des bibliothèques externes.
Pour les enregistrements, les publications de l’office (GOPI) sont mises à la disposition du public pour consultation gratuite sur place ou pour acquisition à moindre frais. Toutes les marques enregistrées y figurent. Il n’existe pas encore de consultation électronique.
Toute demande d’information (recherche de marque, demande d’un extrait du registre…) doit faire l’objet d’une requête sur papier, moyennant le paiement d’une certaine somme, en raison de la confidentialité de la base de données. En matière de recherche de marque, en raison de l’insuffisance des informations publiées dans les GOPI (sans demande d’enregistrement), les demandeurs sont conseillés de faire une demande expresse sur papier libre à adresser au responsable du service. Les recherches s’effectuent dans la base de données de l’office, mais on n’effectue pas de recherche pour les autres pays.
Nous recevons régulièrement un bulletin officiel de l’OAPI (Cameroun) le BOPI et de quelques autres offices de façon non périodique, par contre, nous n’effectuons pas encore d’échange d’information avec d’autres organismes, sous quelque forme que ce soit.
Nous recevons des CD- CASSIS des USA
Des activités de promotion ont été menées par l’office ; notamment à travers des expositions ( à but économique) , la publicité ( télévisée et radiophonique), des séminaires (avec l’OMPI, les opérateurs économiques, l’Administration), la formation et l’information (étudiants, opérateurs).
L’office participe, sur invitation, aux programmes de formation de l’OMPI